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Titulaire d’un doctorat en histoire de l’Université de Montréal, JACQUES PAUL COUTURIER œuvre dans l’administration universitaire depuis 2004, actuellement à titre de vice-recteur du campus d’Edmundston de l’Université de Moncton. Il est notamment l’auteur d’une synthèse d’histoire canadienne, Un passé composé : le Canada de 1850 à nos jours et de plusieurs études d’histoire acadienne.

BÉATRICE CRAIG, professeure titulaire au département d’histoire de l’Université d’Ottawa, est l’auteure de Homespun Capitalists and Backwoods Consumers: The Rise of a Market Culture in Eastern Canada (Toronto: University of Toronto Press, 2009); avec Maxime Dagenais, The Land in Between: The Upper St. John Valley, Prehistory to World War One (Gardiner, ME: Tilbury House, 2009), et d’ouvrages en histoire des femmes en affaires.

GILBERT MCLAUGHLIN est étudiant au doctorat à l’École d’études sociologiques et anthropologiques de l’Université d’Ottawa. Il est titulaire d’une maîtrise en pensée politique et analyse des idéologies de l’Université d’Ottawa. Après avoir défendu sa thèse sur le mythe de fondation dans l’imaginaire acadien, ses recherches ont porté sur le domaine de la sociologie politique et de la sociologie des croyances collectives.

JULIEN MASSICOTTE est professeur de sociologie à l’Université de Moncton, campus d’Edmundston. Il s’intéresse à l’histoire des idées et aux transformations touchant l’Acadie.

MÉLANIE LEBLANC est sociolinguiste et professeure au campus d’Edmundston de l’Université de Moncton. Elle s’intéresse notamment aux représentations et idéologies linguistiques en Acadie, et aux rapports de pouvoir observables dans le discours.

NICOLE LANG est professeure d’histoire acadienne et canadienne à l’Université de Moncton, campus d’Edmundston. Elle a coécrit, avec l’historien Nicolas Landry, l’ouvrage Histoire de l’Acadie (2e édition, Québec, Septentrion, 2014). Ses plus récents travaux de recherche portent sur l’histoire du travail des femmes en Acadie et sur les lieux de mémoire acadiens au Nouveau-Brunswick.

Ancien directeur de la revue Acadiensis, DAVID FRANK a récemment pris sa retraite du Département d’histoire de l’Université du Nouveau-Brunswick. Son ouvrage le plus récent est intitulé Solidarités provinciales : Histoire de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Nouveau-Brunswick (Edmonton, Athabasca University Press, 2013). Cet ouvrage a aussi été publié en anglais par le même éditeur sous le titre Provincial Solidarities: A History of the New Brunswick Federation of Labour.

MARTIN PÂQUET est actuellement professeur titulaire au Département des sciences historiques de l’Université Laval; depuis 2010, il est aussi le titulaire de la Chaire pour le développement de la recherche sur la culture d’expression française en Amérique du Nord. Il s’intéresse aux multiples expressions des cultures politiques au Québec, au Canada et dans les francophonies nordaméricaines depuis les Révolutions de la fin du 18e et du début du 19e siècle jusqu’à nos jours et il est l’auteur, seul ou en co-direction, de 18 ouvrages scientifiques.

Professeure de littérature au campus d’Edmundston de l’Université de Moncton,  PÉNÉLOPE CORMIER s’intéresse aux littératures franco-canadiennes selon une double perspective, de sociocritique et de sociologie de la littérature. En particulier, elle examine les liens entre l’expérimentation formelle et le discours identitaire dans les productions artistiques.

BENOIT DOYON-GOSSELIN est professeur agrégé et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et milieux minoritaires à l’Université de Moncton. En 2012, il a fait paraître une monographie intitulée Pour une herméneutique de l’espace. L’œuvre romanesque de J.R. Léveillé et France Daigle. En 2014 et 2015, deux collectifs sont parus sous sa direction : Les institutions littéraires en question dans la Franco-Amérique et Portrait de l’artiste en intellectuel.