Résumés
Résumé
Proposant comme à l’accoutumé un panorama critique de la saison montréalaise 1992-1993, l’auteure insiste sur ses caractéristiques marquantes : peu de jeunes compositeurs ont été joués; la nostalgie du déjà connu semble refléter l’angoisse actuelle de la société; pour des raisons idéologiques diverses, nos créateurs se sont beaucoup appuyés sur des textes littéraires et religieux. Une œuvre, cependant, surnage de ce marasme : L’adorable verrotière, de Serge Provost.
Abstract
In her regular and wide-ranging critical column on Montreal's musical season, the author points out what she deems to be last season's important elements: few young composers'music was performed; the nostalgia of the already known seems to reflect society's current anxieties; for a variety of ideological reasons, our composers have greatly relied on literary and religious texts. One work, however, seemed to stand out amidst the disarray: L’adorable verrotière by Serge Provost.
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