Regarde-moi, Leonard

  • Francine Allard

Après avoir tout lu ce qu’il y a de disponible au sujet de Leonard Cohen, j’ai compris à quel point il y a, à Montréal, une culture anglophone refermée, hermétiquement insoupçonnée. Pourtant, à l’époque de sa vie de jeune adulte, étudiant à l’Université McGill, logeant rue de la Montagne (qu’on appelle Mountain Street dans sa biographie) il est étonnant qu’un si grand artiste ait pu vivre, anglophone, comme si de rien n’était, parmi une horde de Canadiens français.

Couverture de Pour Leonard Cohen, Numéro 133, avril 2012, p. 9-156, Moebius

Veuillez télécharger l’article en PDF pour le lire.

Télécharger

Parties annexes