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Chaque année, nous profitons de cette rétrospective pour souligner l’aide précieuse de l’éditrice associée Mme Myriam Villeneuve-Lapointe, de la secrétaire à la rédaction Mme Carole Bergeron, du Conseil d’administration, de sa présidente Mme Pascale Lefrançois, des évaluateur⋅rice⋅s, des membres du Comité de rédaction et du Conseil scientifique, des réviseur⋅se⋅s linguistiques, des traducteur⋅rice⋅s, des recenseur⋅se⋅s et, bien sûr, des auteur⋅e⋅s comme des lecteur⋅rice⋅s de la Revue des sciences de l’éducation. Aussi, nous remercions tout particulièrement Mme Sophie René de Cotret de son engagement, la trésorière sortante, et avons accueilli Mme Jennifer Smith qui, dorénavant, remplit cette fonction.
Dès mars dernier, en contexte de confinement, le consortium Érudit a libéré l’accès aux articles récents de la Revue. Avant et pendant la pandémie, la rubrique Lectio a accueilli son premier article (Tutiaux Guillon, 45-2), tout comme l’a fait la rubrique Disputatio (Kamanzi, 45-3). Poursuivant ce travail de diversification de ses champs d’intérêts et d’activités, la Revue a développé une nouvelle rubrique Questio visant à publier des articles orientés vers une réflexion méthodologique portant sur toutes les disciplines qui contribuent aux sciences de l’éducation (histoire, philosophie, psychologie, sociologie, etc.). M. André-Sébastien Aubin et Mme Joëlle Morrissette en sont les responsables. Nous avons également mis en place des mesures pour augmenter le nombre de comptes-rendus par volume, entre autres en nommant M. Philippe Momège responsable de la rubrique des recensions.
La Revue est passée à une version française de l’APA 7 dans le volume 45. Au cours des deux dernières années, nous avons incité les auteur⋅rice⋅s à pratiquer l’écriture inclusive avec point médian. Nous continuons de publier des articles qui n’intègrent pas cette pratique, tout en appuyant les auteur⋅rice⋅s se conformant incomplètement à cette demande, mais nous espérons que nos encouragements auront pour effet d’accroitre la proportion d’articles qui l’adoptent.
L’achalandage du site de la Revue sur Érudit a progressé et nous avons réduit le temps moyen entre la réception d’un manuscrit et sa publication. Nous visons à réduire cet intervalle à six mois. La Revue communique de plus en plus avec ses lecteur⋅rice⋅s par microbillets. Il y a eu de nombreux gazouillis (tweets) et retransmissions (retweets) aux 525 abonné⋅e⋅s.
Pour la prochaine année, dans le cadre de notre plan d’action, nous nous proposons, entre autres, de réviser la « grille d’évaluation » des manuscrits soumis et de réactiver le prix André-Girard du meilleur article par volume. Nous souhaitons aussi rendre les articles de la Revue plus visibles sur les sites proposant des services de réseautage social pour chercheur⋅se⋅s.
Bonne lecture !